Lifestyle

4 ans d’amour maternel

QUATRE ANS DÉJÀ QUE CE LIVRE INTITULÉ THELMA S’ÉCRIT. UN LIVRE À SIX MAINS ET EN TROIS LANGUES. UN LIVRE REMPLI DE SURPRISES, UN LIVRE AVEC LEQUEL, NOUS NE CESSONS PAS D’APPRENDRE, DE NOUS EMERVEILLER.
HIER, LE 14 MAI 2017 ET ALORS QUE LE TEMPS N’ÉTAIS PAS FORCÉMENT À LA FÊTE (PARCE QUE LA VIE EST MÔCHE, PARFOIS) NOUS AVONS CÉLÉBRÉ TES QUATRE ANS DE SOURIRES !
TRÈS BEL ANNIVERSAIRE MA THELMITA !
Maman depuis quatre ansMaman depuis quatre ans

Quatre ans déjà de ta naissance.
Quatre ans d’une libération tant attendue après une grossesse si compliquée.
Quatre ans d’un accouchement déclenché mais merveilleux.
Quatre ans déjà que j’ai pu aider la sage-femme à te faire venir dans ce monde et à te poser calmement sur ma poitrine. Petit visage si apaisé.
Quatre ans que tu es là, que tu gigotes et que notre vie se bouscule.
Quatre ans d’un amour à trois.
Quatre ans que je suis maman. Qu’il est papa.
Quatre ans d’un triangle parfait.

Nous t’aimons à la folie, petite crevette.
Tes regards, tes questions, tes très longues conversations, tes explications, ma petite communicante ! Mon petit moulin à paroles ! Ton invention, ton imagination, maman les pois chiches c’est comme des petits culs !

Maman depuis quatre ans

Et tu as eu tes copines, ton copain.
Tu as eu des cadeaux venus d’ici et de là-bas.
Tu as eu des gâteux et des chocos.
Tu as eu des petits mots. Et le soir, quand tout le monde était parti, tu as voulu tous les relire : maman, il y a quoi ici d’écrit ?

Ce matin en te levant tu m’as demandé pourquoi le ballon était encore là et je t’ai répondu : parce que si tu veux, c’est encore ton anniversaire aujourd’hui ! Parce que ma chérie, la vie devrait être une fête tous les jours !

Nous te souhaitons tout le meilleur !
Nous serons toujours là pour toi !
Garde ton âme d’enfant !

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Lifestyle

Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »

Séance photo famille Nantes urbaine avec "La danse de l'image"

Alors que nous rentrions en plein dans ce syndrome post-construction dont je vous ai récemment parlé, les réseaux sociaux nous ont offert une très jolie surprise : la photographe Alexandra Beal de « La danse de l’image » offrait une séance photo famille, c’est un gentil tweet qui m’a averti de cette opportunité bien chouette. Alexandra cherchait une famille avec un ou deux enfants pour une séance urbaine dans Nantes. J’ai sauté sur l’occasion, après en avoir discuté avec mon ChériGuiri.

Après quelques échanges par mail, Alexandra nous a choisi ! Sur son site, elle se présente…

« Photographe de l’instant, je capture vos rires et vos sourires avec paillettes et confettis. »

Elle est douce, professionnelle et elle arrive avec des paillettes et des confettis, c’est exactement cela ! Elle sait créer cette atmosphère idéale qui fait qu’au bout de quelques minutes on oublie qu’on est face à un photographe. Thelma était trop contente parce que la séance s’est transformée en scène de jeux ! Rien de mieux pour ravir un enfant ! Alexandra ne le sait sans doute pas mais je crois que c’est là qu’on a commencé à décompresser après des mois et des mois de travaux. C’était le premier dimanche de mars.

Un dimanche très froid. Pour être tout à fait sincère, la séance à failli être annulée car il faisait très très mauvais temps. Une pluie affreuse, beaucoup de vent, le ciel bien capoté. Mais nous avons tenu à maintenir ce shooting. Nous voilà donc prêts à 8 heures pétantes aux Machines de l’île lors d’un matin froid de fin d’hiver.

Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image » Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image » Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »

Une séance au naturel très made in Nantes

Nous sommes ravis du résultat, les photos c’est tout à fait nous ! Pas de maquillage surfait, pas de coiffeur (je suis décoiffée –merci le veeent et le crachin breton !- mais je m’aime, bizarre, n’est-ce pas ?), pas d’habits extraordinaires, pas de mise en scène particulière mais plutôt une famille simple qui a joué à se chatouiller, à courir, à s’aimer ! Nous sommes redevenus enfants le temps de trois heures sous l’objectif d’une photographe qui sait capturer les instants vrais, tout compte fait, les instants les plus précieux dans la vie d’une famille !

Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image » Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image » Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image » Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image » Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »
Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »Séance photo famille Nantes urbaine avec « La danse de l’image »

Merci Alexandra !

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Le syndrome post-construction, ça existe ?

30 janvier 2017

Il y a eu ce matin d’hiver très froid quand nous nous sommes réveillés au milieu de presque rien, chez les autres, voisins solidaires.
Il venait d’avoir ses 40 ans.
Il y a eu ces premiers gestes dans ce nouveau cocon.
Il y a eu ses peurs et ses pleurs. Et on a cherché, sans forcément trouver.
Il y  a eu ses bisous tout plein, de vache, d’esquimau, en pipius, qui font du bruit. Les câlins et los abrazos.
Il y a eu la fatigue, le stress, l’envie de rien et le beaucoup à faire.
Les pantalons a laver. Beaucoup.
Il y a eu des milliers de réveils dans la nuit.
Les projets à finir. Beaucoup.
Il y a eu cette énergie sortie d’une sorte de faille spatio-temporelle qui nous a portés, comme ça, sans savoir comment.
Il y a eu des doutes et des trop-pleins.
Il y a eu des regards vides.
Il y eu des courses contre la montre.
Il y a eu des balades forcées et d’autres improvisées.
Il y a eu.

Il y avait eu des vacances raccourcies.
Il y avait eu des vacances séparés, à distance.

Il y a eu tellement de choses en si peu de temps. Mais un temps ô combien long. Esprit de contradiction. Esprit de perfection.

Les parenthèses
Le syndrome post-construction, ça existe ? Le syndrome post-construction, ça existe ?
Le syndrome post-construction, ça existe ? Le syndrome post-construction, ça existe ?

J’ai voulu vous en parler mais je n’ai pas su par où commencer.
Des plans sur la comète.
Des châteaux en Espagne.
(et des petites maisons en bois)
Je voulais vous l’écrire. On voulait partager. On a voulu. On voulait. On n’a pas pu.

Je ne savais pas que le temps de construction d’une maison qu’on a tellement pensée, travaillée, imaginée aurait ces effets sur moi. Sur nous.
J’ai l’impression d’émerger du néant. Encore aujourd’hui.
Et parfois, les mots me manquent. Le syndrome du ventre vide, post-construction, ça existe ? Si oui, je crois qu’il est chez nous.

Il y en a qui écrivent en long et en large sur les travaux, les pourquoi du comment, les plans, les détails et les matériaux.
Je croyais que je serais capable de le faire, mais non.
Je peux juste vous dire qu’il sait tout faire (quand je dis tout, c’est tout). Que je ne sais rien faire (quand je dis rien, c’est rien). Alors voilà, on a vécu sur des planètes différentes et isolées pendant neuf longs mois (le syndrome du ventre vide, je vous le dis). Tout n’est pas fini.

20 avril 2017

Mais les planètes se retrouvent, c’est déjà pas mal.
Et je fais la déco, cela oui, je sais un peu faire.

Il était une fois… l’histoire d’une petite maison en bois et d’une famille épuisée.
Il était une fois… la vie banale d’une famille banale.

Il y a eu la vie. Voilà, c’est cela !

Le syndrome post-construction, ça existe ? Le syndrome post-construction, ça existe ?
Pour ceux qui se demandent (et me demandent), nous avons acheté un hors d’eau, hors d’air en ossature bois et mon ChériGuiri s’est occupé de tout l’intérieur de la maison. Nous avons commencé les démarches en février 2015. Un peu plus d’an de paperasses, d’attentes et de délais et un peu moins d’un an pour les travaux de maison : environ quatre mois pour la dalle et l’élévation des murs et entre cinq et six mois pour l’intérieur

Margarida

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