Minorque

La jolie plage de Cala Galdana à Minorque

Plage de Cala Galdana à Minorque

C’est une plage au sud de l’île de Minorque, une plage aimée, une plage de souvenirs, de premières baignades, d’étés passés là-bas. Une plage à 7 km de la ville, de ma ville, Ferreries. Cala Galdana et sa forme de coquille, sable fin et blanc. Avec des eaux bleues qui parfois tournent au vert. Un torrent à côté, et le plus beaux des ravins de Minorque : Algendar.

Idéale pour les familles. Idéale pour les randonneurs, 2 km à pied par un joli sentier littoral et on arrive à des merveilleuses criques vierges. Station balnéaire des plus connues à Minorque. Elle est grande mais pas étouffante. Elle est petite, en fait.

On l’a aimée et puis un peu moins, on a dit des blablas sur le béton. On y allait moins, en privilégiant les plages vierges qui se trouvent autour.

Et puis on devient maman, et on cherche des plages faciles d’accès et des zones d’ombres. Et finalement, Cala Galdana se révèle être idéale. Cala Galdana, pavillon bleu.

Belle le matin, belle le soir.

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En Espagne, de la pénitence à la plage

Alors que cette semaine que j’annonçais remplie de jolis moments s’achève, que ces jolis moments ont été bien présents, qu’il nous reste encore deux jours pour profiter de ce mode « en cours de préparation » qui nous rend tous et toutes tellement contents, alors que c’est le chassé-croisé pour beaucoup d’entre nous… et bien, nous, ici, nous commençons à rêver de notre séjour en Espagne.

Cette Espagne qui, malheureusement, a tellement changé. Cette Espagne qui sombre un peu dans la misère. Cette Espagne qui semblerait revenir en arrière à la place d’avancer en avant (oui, c’est incorrect et redondant -grammaticalement- de dire ça mais regardez comme ce pays voisin avance en arrière). Cette Espagne que j’ai du mal à reconnaitre. Ce pays que j’aime autant, ce pays qui est le mien, population qui passe une particulière Semana Santa, pénitence qui servirait-elle à quelque chose ? L’Espagne du soleil, ce soleil qui, j’en suis sûre, contribue à faire garder le sourire des gens qui ont du mal à arriver à la fin du mois. Parce que le soleil, astre roi, croyez-moi, c’est lui qui leur donne toutes les vitamines, force et énergie pour ne pas sombrer dans le plus grand des désespoirs. Sous le soleil on oublie tous les malheurs.

Quand nous arriverons, la pénitence sera loin derrière eux, plus de processions, plus de pasos (auteuls portés à dos d’homme) ni passions convertis actuellement, peut-être, en simple symbole du folklore que même Antonio Banderas vient honorer. Quand nous arriverons, los capirotes (cagoules) seront déjà rangés.

Et à la place, les plages commenceront à s’habiller en été. Premières baignades pour les autochtones qui veulent profiter des lieux encore à moitié désertiques.

L’été arrive, la crise sera plus facile à supporter.

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