Apprendre des langues

Les bienfaits des séjours linguistiques

Partir en séjour linguistique à l’étranger, quelle belle expérience ! Le mois de juillet est le mois idéal pour apprendre les langues. La découverte des autres, partir pour connaître un pays dont jusqu’à présent on en a seulement entendu parler, apprendre à communiquer, vivre avec des habitudes différentes, faire aussi connaissance de soi-même…

Je ne peux qu’encourager à tous ces jeunes qui ont envie de ça, cette grande envie de savoir comment vivent les gens du pays d’à côté, ou de ce pays qui loin bien loin va nous offrir une toute autre vision des choses. Parce qu’une immersion linguistique donne souvent des résultats plus satisfaisants qu’un simple cours de langue dans le cadre scolaire.

Et c’est une chance à ne pas rater. Vous allez peut-être me dire que ce n’est pas tout le monde qui peut y mettre le prix. Ne vous inquiétez pas, il y a un large choix, des séjours qui effectivement restent un peu chers mais aussi des séjours plus abordables, voire des bourses qui financent ce type de voyages. Quand on veut on peut. Il suffit de gratter, de chercher et de trouver la bonne formule.

Une jeune qui part est un jeune qui revient plus fort, avec plus d’aisance pour la langue… et surtout un jeune plus ouvert d’esprit et qui sait regarder loin vers l’horizon !

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Ces petites librairies qui ont du mal à vivre

Il y a plus d’un an j’avais écrit un article (en catalan) sur une petite librairie de Paris qui vendait des livres en catalan et occitan. Le libraire aimait à la folie les livres, quelqu’un qui s’y connaît, un libraire pas un vendeur. Mais malheureusement le cours de l’histoire fait que ce n’est plus rentable d’avoir une petite librairie. Nous savons tous que la vente de livres est en chute permanente. Et la librairie Pam de Nas a donc du fermer ses portes le 30 juin dernier. Je vous laisse quelques fragments de la lettre que Monsieur Jean-François Coche (le libraire) a redigé en motif de cette fermeture. Je pense que ça fait réfléchir…

La librairie PAM DE NAS, qui fermera définitivement le 30 juin 2011, avait ouvert en 1977 comme librairie occitane et catalane à Paris. Née d’une initiative personnelle, la librairie n’a vécu que par sa clientèle, fidèle ou occasionnelle (…)

La fermeture prochaine de la librairie n’est pas due directement à des difficultés économiques, même si celles-ci ont souvent été présentes au cours des trente-quatre ans d’existence d’une librairie si spécialisée, mais elle est la conséquence de la volonté du propriétaire de l’immeuble d’augmenter notablement son loyer : de le tripler en fait !

(…) Comme la réinstallation dans un autre endroit semble financièrement impossible, dans la situation actuelle de l’immobilier parisien, cette fermeture imprévue et non souhaitée a un certain nombre de conséquences, personnelles et collectives.

Parmi les conséquences personnelles, il y a :

La nécessité d’évacuer et d’écouler un stock de livres « conséquent »… celui d’une librairie après trente-cinq ans d’existence ! Quelques tonnes sans doute ! (…)

Il y a aussi des conséquences plus collectives, puisque la librairie assurait une présence visible, à Paris, des livres occitans et catalans. Comment envisager une suite à cette présence ? Voici quelques réflexions :

Catalan.

La singularité de la librairie catalane PAM DE NAS était d’être située à Paris, et aussi d’être tenue par un  Parisien. Mais il existe en pays catalan nombre d’autres librairies catalanes. La fermeture de la librairie obligera donc « seulement » la clientèle intéressée à recourir à des achats par correspondance ou par internet, ou à se déplacer vers une librairie existante en zone catalane.

Pour ce qui est des fonctions d’information, de documentation… ou simplement de vitrine que remplissait aussi la librairie, diverses institutions catalanes sont maintenant présentes à Paris, avec des moyens financiers considérablement plus élevés que celui d’une petite librairie. (…) Il n’est pas question de faire ici une évaluation des activités de ces institutions, mais il convient quand même de constater que leur indifférence à l’égard de l’existence de la librairie et de l’éventualité de sa disparition a été, ces dernières années, pratiquement totale. (…)

Occitan.

Le très petit nombre de points de vente des livres occitans, pour ne pas parler de librairies occitanes presque inexistantes à l’exception des quelques librairies associatives, oblige à se poser la question d’une suite à donner à l’activité de la librairie PAM DE NAS.

L’inexistence d’institutions occitanes d’ensemble, et la faiblesse sur le plan de la culture occitane des institutions régionales et locales font qu’on ne peut envisager qu’une présence culturelle à Paris, et donc des livres, soit menée par ces institutions.

Il paraîtrait normal que cette présence soit assurée par quelque institution parisienne ou même nationale française…(…)

A défaut d’une poursuite d’activité occitane à Paris, pourrait-on essayer de préserver les acquis de la librairie ailleurs, en zone occitane, en Catalogne… ou même plus loin ?.

Quel projet ou quelles institutions existantes seraient susceptibles de tirer parti de tout cela ? Ces quelques éléments de réflexion sont donc fournis à ceux qui s’en préoccuperaient… et qui pourraient m’indiquer quelque piste à ajouter aux contacts que je peux déjà avoir (…)

Consciente qu’aujourd’hui je vous ai livré un long article mais consciente également que de temps en temps un petit moment de refléxion peut être bien utile pour le devenir de notre société et de notre monde.

Pam de nas

Libr Pam d nas

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Toutes les filles sont belles

Comme cette pub archi connue qui disait « …parce que je le vaux… » ! Phrase que toutes les filles devraient se dire jour après jour.  Pourquoi je pense à cela ? Parce qu’avec la venue de l’été, du soleil et du beau temps toutes les femmes de la planète se désapent un peu, des tenues plus légères, des maillots de bain à enfiler et nous voilà face au problème auquel beaucoup de femmes se sentent confrontées : Je n’aime pas mon corps, je ne me sens pas bien, je n’ose pas mettre une jupe, un bikini, etc.

Je refuse, je refuse et je refuse encore. Parce que toutes les femmes sont belles, chacune à sa manière, dans la différence il y a la beauté. Heureusement que nous sommes toutes différentes, heureusement qu’il y a toujours un regard qui nous rend belle !

Oui c’est cela, je deviens belle quand tu me regardes !

Déjà, le premier regard important c’est le notre, celui de la femme qui au matin, au réveil se regarde dans cette glace fantastique, et c’est là qu’elle doit se dire qu’elle est la plus belle du monde. Ensuite il faut toujours savoir pour ne jamais oublier, que quelque part sur la Terre il y a bien quelqu’un, homme ou femme, qui nous trouve belles et jolies. Ce ne sera qu’ainsi, en suivant cette méthode simple et faite maison, que les filles, tous âges confondus, vont arriver à aimer leur propre corps, à se sentir bien et à pouvoir, enfin, mettre ce petit short qui fait tellement peur.

Je n’aime pas non plus ces femmes qui se croient supérieures aux autres, qui se trouvent troooop belles, trop canon. Non, ça je n’aime pas. Absolument pas. Cependant je ne veux pas non plus de toutes ces femmes qui souffrent en silence, qui ont peur du regard des autres, qui préfèrent avoir chaud avant d’enlever un petit t-shirt, qui ne veulent pas aller à la plage de peur de se mettre en maillot.

Il faut, chères filles, jeunes, femmes, trouver ce juste milieu, accorder l’importance qu’il faut (pas moins mais pas plus) à notre corps, à notre beauté extérieure, tout en sachant, que toujours…la plus belle des beautés et la plus belle des femmes sera celle qui sourit, qui rigole, qui sait aimer et se sentir aimée et en définitive qui est porteuse de bonheur !

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