Freelance

Le rêve d’un freelance : travailler sous un cocotier ~ El sueño de todo freelance: trabajar bajo la sombra de un pino

Voilà ce qui est bien. Projet fini avant de partir. Je n’ose pas dire « partir en vacances », non. Parce qu’un des avantages d’être traducteur – rédacteurcommunity manager freelance et de travailler à la maison est qu’en fait on peut travailler de n’importe où. Oui, vous savez, ce rêve que nous avons tous au plus profond de nous, celui de travailler sous l’ombre d’un cocotier ! Et bien, c’est un peu ce que je m’apprête à faire pour les semaines qui vont suivre. C’était, justement, un des points positifs auxquels je pensais quand j’étais en période de réflexion pour savoir si oui ou non je me lançais dans la vie de freelance.

Ok. Je vais être juste. Le point négatif c’est qu’on arrive rarement à déconnecter, à être vraiment en vacances. Mais pour l’instant la balance penche du côté des avantages !

Je pars donc, comme je disais, histoire de concilier, encore un peu plus, ma vie professionnelle et ma vie de famille. Je pars, le temps d’un été, à côté des miens, je pars pour parler mes langues, je pars pour profiter des plages, je pars pour vivre ma freelance-attitude sur l’île. Je pars en maman solo, plus tard notre ChériGuiri-PapaGuiri va nous rejoindre et là je vais essayer d’être plus en vacances qu’en travail, quand même !

freelance attitude

Une fois ces mots que je vous adresse seront alignés, je vais quitter mon bureau et je vais sérieusement commencer à me pencher sur les valises. Elles n’ont pas encore appris à se faire toutes seules, c’est bien dommage d’ailleurs ! Heureusement, ces derniers jours, petite princesse a été gardée ici à la maison par sa mamie, sinon je ne sais pas comment j’aurais fait, souvenez-vous de comment parfois c’est compliqué de travailler à la maison et faire garder ses enfants.

Je disais donc, qu’une fois cet article sera en ligne, je vais me mettre en mode voyage et que mon prochain coucou aura des saveurs méditerranéennes !

¡Hasta pronto!

freelance attitude

¡Ya está! Proyecto acabado y entregado justo antes de irme. No me atrevo a decir « irme de vacaciones », no. Y es que una de las ventajas de ser traductor – redactorcommunity manager free lance y de trabajar en casa es que lo puedo hacer en cualquier sitio. Sí, sabéis, ese sueño que tenemos todos de trabajar bajo la sombra de un pino! Pues bien, es un poco lo que voy a hacer durante las próximas semanas. Porque este era, justamente, uno de los puntos positivos en los que pensaba cuando estaba en pleno periodo de reflexión para saber si sí o no me lanzaba en ese mundo de los free lance.

De acuerdo. Voy a ser justa. El punto negativo es que es difícil llegar a desconectar completamente, a estar realmente de vacaciones. Pero por ahora, la balanza se inclina hacia el lado de las ventajas.

Me voy pues, como decía, para conciliar, todavía más, mi vida profesional y mi vida familair. Me voy, para el verano, al lado de los míos, me voy para hablar mis idiomas, me voy para disfrutar de las playas, me voy para vivir mi freelance-actitud en mi isla. Me voy de mamá-sola, dentro de unas semanas nuestro querido ChériGuiri-PapaGuiri se unirá a nosotras y ahí sí, intentaré estar más de vacaciones que de trabajo!

Cuando haya acabado de juntar estas líneas, voy a salir de mi despacho y voy a empezar seriamente a estudiar el tema de las maletas. ¡Qué pena que no hayan aún aprendido a hacerse solas! Por suerte, estos últimos días, la mamie se ha ocupado aquí en casa de mi princesita, ya sabéis que a veces no es fácil trabajar en casa y ocuparse de los niños.

Bueno, como decía, una vez este artículo publicado me voy a poner en modo viaje y mi próximo coucou ya tendrá sabores mediterráneos!

À bientôt amigos!

Freelance

Travailler à la maison et faire garder son enfant

Je suis femme, je suis jeune maman, je suis freelance et je travaille à la maison. Mais non, je ne garde pas ma fille moi-même.

Quand je me suis lancée dans cette aventure de devenir freelance et de travailler à la casa, il y a eu des gens qui ont cru que je faisais cela pour garder ma fille avec moi. J’ai fait cela parce que c’est ce qui me plaisait, parce que j’avais envie de tester cette formule, parce que c’était mon rêve professionnel. Mais je savais très bien que je ne pouvais pas garder petite princesse avec moi car sinon je ne travaillerais pas. Un bébé a besoin d’attention. Quand on travaille on a besoin de concentration, ce sont donc, pour moi, deux choses incompatibles.

Vu qu’il faut chercher un mode de garde quand bébé n’est pas encore né et que souvent on ne sait pas trop de quoi sera faite notre vie dans cinq ou six mois, ChériGuiri et moi avons opté pour une assistante maternelle – temps enseignant. Cela signifie qu’elle ne prend pas petite princesse pendant les vacances scolaires. C’est un choix réfléchi. C’est ce qu’on voulait. Elle est gardée 40 heures par semaine et cela nous permet très bien de concilier vie de famille et vie professionnelle. Oui. Pour l’instant nous sommes ravis de notre choix. Je la dépose à 8h, à 8h15 je suis déjà derrière mon poste. Je la récupère à 17h trois fois par semaine, à 15h le mercredi (c’est la seule des trois enfants gardés par notre nounou qui y va le mercredi -je suis espagnole, toute ma vie je suis allée à l’école les mercredis !) et à 14h le vendredi. Le mercredi après-midi c’est notre rendez-vous webcam avec papi et mamie de Minorque. Les rituels s’instaurent.

Avoir un enfant c’est aussi tout faire pour avoir du temps pour s’en occuper. Sans pour autant, complètement s’oublier ni négliger sa carrière. Pour moi, le plus important c’est de trouver le juste équilibre et, jusqu’à présent, nous y sommes arrivés. J’ai déjà parlé du fait que quand la famille est loin, il faut aussi réfléchir vraiment bien aux horaires, car en cas d’imprévu, des soucis de dernière minute, la famille n’est pas là pour venir au secours, genre « je-suis-dans-un-embouteillage-je-fais-quoi-de-bébé » ou genre « appel-de-nounou-bébé-malade ».

Les premières vacances scolaires, quand elle était encore très bébé, à 4 mois et à 6 mois, j’ai pu la garder et continuer à travailler sans problème. Elle faisait ses siestes ou alors elle restait dans le transat à côté de moi. Ensuite il a fallu trouver une solution, elle grandissait, c’était les quatre pattes, elle se mettait débout. J’ai réussi à m’occuper d’elle tout en travaillant « un peu ». Pendant ces vacances scolaires-là je rattrapais mon travail le soir quand ChériGuiri rentrait. C’est ça qui est bien aussi, je suis reine et maître de mon temps ! Il suffit de bien le gérer !

Nous voilà en juillet, l’école est finie vendredi dernier. Que fais-je de petite princesse ? Elle marche depuis un mois, il faut la surveiller, elle a tout le temps envie de jouer, elle rigole, elle « bavarde », bref, une vraie petite pipelette ! Compliqué cette fois-ci de la garder auprès de moi… Nous avons une mamie qui habite à un peu plus d’1 heure de route, difficile pour les imprévus et les dernières minutes mais tout de même très faisable pour les gardes organisées d’avance, elle va venir la garder quelques jours durant ces prochains 15 jours. Les autres jours petite princesse s’amusera énormément, le temps de quelques matinées, avec notre voisine de 18 ans.

Nous sommes ravis de ce mode de garde. Avoir pris une assistante maternelle – temps enseignant me permet d’avoir du temps pour travailler sans courir et, à la fois, d’être très disponible pour elle. Les soirs nous avons le temps de jouer avec elle, de lui donner le bain sans devoir se dépêcher car il est tard-on-est-trop-fatigués-mon-con***-de-chef-je-ne-sais-quoi, tous les jours elle a amené sa petite gamelle concoctée avec amour par maman. Qu’elle soit à la maison pendant les vacances scolaires nous permet aussi de commencer à nous y habituer pour quand elle ira à l’école.

Etre freelance et travailler à la maison pour mieux concilier travail et vie de famille !

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Traduction

Freelance : d’une passion, un métier ~ Free lance: una pasión, un oficio

Et je deviens, enfin, traductrice freelance (et rédactrice et CM)!!

Parce qu’être freelance c’est aussi :

Vouloir être complètement en harmonie avec soi-même;
Laisser de côté peurs, craintes et autres émotions;
 Etre son propre chef, son propre comptable, son propre manager;
 Apprendre à gérer le temps autrement;
 Savoir démarcher, être entrepreneur.

Et le plus important : pour être freelance il faut faire de son METIER sa PASSION !

Ceci est la fin d’un petit aperçu du chemin qu’il nous aura fallu parcourir avant d’atteindre notre rêve professionnel. Avec ces quatre derniers articles j’ai voulu vous montrer comment parfois, même en sachant très fort ce que l’on désire, il faut travailler dur avant que notre rêve devienne réalité. Travailler dur, toujours ! Avant et après !

Celles-ci sont les dernières lignes d’une suite d’articles qui prétendent, aussi, encourager les jeunes qui se posent la question de savoir s’ils prennent le chemin du freelance ou pas. Parce que souvent, se sentir identifiés avec les mots de quelqu’un aide à y voir plus clair.

Pour des questions plus techniques, plus administratives et aussi concernant le contact avec les clients je vous invite à lire les articles d’Anissa du blog Nomad’s Heart, elle le fait si bien !

Pour retrouver tous les articles :

Genèse d’une vie en freelance – traductrice (1)
Genèse d’une vie en freelance – traductrice (2)
Genèse d’une vie en freelance – traductrice (3)
Genèse d’une vie en freelance – traductrice (4)

¡¡¡Me convierto, por fin, en traductora free lance!!!! (y redactora y CM)!!

Ser free lance también significa:

Querer estar en completo acuerdo consigo mismo;
 Dejar de lado miedos y otras emociones;
 Ser jefe, ser contable, ser manager;
 Aprender a gestionar el tiempo adecuadamente;
 Saber vender, buscar clientes, ser emprendedor;

Y lo más importante: para ser free lance, el OFICIO tiene que ser PASION!

Este es el final de una muestra del camino que a veces habremos tenido que recorrer antes de alcanzar nuestro sueño profesional. Con estos últimos cuatro artículos he querido mostraros como aun y sabiendo muy bien lo que deseamos, se tiene que trabajar muy duro antes de ver como ese sueño se convierte en realidad. ¡Bueno, trabajar duro, siempre! ¡Antes y después!

Estas son las últimas líneas de una serie de artículos que pretenden, también, animar a todos aquellos jóvenes que ahora mismo se plantean ser free lance. Porque, a menudo, sentirse identificado con las palabras de alguien ayuda a ver las cosas de manera más clara.

Génesis de una vida de free lance – traductora (1)
Génesis de una vida de free lance – traductora (2)
Génesis de una vida de free lance – traductora (3)
Génesis de una vida de free lance – traductora (4)